Textes postés
 Si tout cela n’était au fond que gribouillage,
 Des esquisses bâclées, de vulgaires brouillons.
 On prépare un potage, il n’en sort qu’un …
                                        
                 Je veux écrire une chanson
 Pleine d’amour et d’allégresse,
 Dans ce monde qui nous agresse,
 Une fraicheur, une caresse,
 Comme un rire …
                                        
                 Alphonse Allais
 S’en est allé
 Nous laissant des
 Vers faisandés.
 Du violon,
 Ce cher Villon 
 Fit des ballades
 En enfilade.
 Pour Du …
                                        
                 J’aimerais parler du beau temps
 Et de la pluie, comme bien d’autres,
 Ceux qui, devenant les apôtres 
 Du superficiel, se vautrent
 Dans …
                                        
                 Refrain
 J’ai vécu tant de nuits, croisé tant de visages,
 Caressé tant de corps, que je me sens vieilli.
 Je laisse mes chansons, comme …
                                        
                 Un vieil homme, bien toiletté,
 A grimpé sur un toit, l’été.
 Grand amateur d’Alphonse Allais,
 Se sentant mal en fonds salés,
 Diplomé, …
                                        
                 Chers lecteurs, soyez indulgents,
 Prenez pitié d’un indigent,
 Je ne suis qu’un poëte en herbe,
 Presque puceau, encore imberbe,
 Qui …
                                        
                 Je suis allé diner, ce soir, au Moulin Rouge.
 Arthur RIMBAUD l’a fait dans un Cabaret-Vert.
 Sur la scène, devant des décors bleus qui …
                                        
                 Enfant, je demandais : « Comment je vais mourir ? ».
 Dans mes nuits agitées, cette question m’obsède
 Encore de temps à autre, je vous le …
                                        
                 Je pense à la première fois.
 Je me souviens du paysage,
 Mais plus du tout de son visage,
 De son prénom ou de son âge.
 Il est si loin …
                                        
                 Ce matin, au réveil, j’étais pris de nausées.
 Dans mon demi-sommeil, ma muse ou un esprit, 
 Me sentant affaibli, lâchement, me surprit,
 …
                                        
                 D’abord, par le hublot, l’immense étendue verte,
 A perte d’horizon, avant de nous poser,
 Puis cette chaleur moite, la porte à peine …
                                        
                
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