JEAN-MICHEL ROBERT
BIOBIBLIOGRAPHIE
(Maison de la poésie de Saint-Quentin-en-Yvelines)
Jean-Michel Robert est né à Saint-Cloud en 1956.
Il a enseigné dans les Yvelines pendant vingt-sept ans, dont dix dans la ZEP La Verrière / Le Mesnil Saint-Denis où il a occupé durant deux ans le poste de coordonnateur chargé de l'harmonisation de l'enseignement du français, de l'expression et de la création poétique. Dans ce cadre, il a conçu et animé ateliers d'écriture et activités théâtrales, correspondances et échanges de textes avec les poètes.
C'est en 1982 que Guy Chambelland, le poète et éditeur du Pont de l'Epée publie son premier ouvrage. Dès lors se tissent les liens de sympathie et d'amitié avec les auteurs du « Pont » : Yves Martin, Alain Simon, Christian Bachelin, Dominique Joubert et Jacques Kober. J-M Robert, en 1991, consacre à ce dernier, surréaliste de « la seconde génération », directeur de 1945 à 1950 des éditions de la galerie Maeght , une importante anthologie pour laquelle il s'est assuré de nombreuses collaborations, témoignages et documents (A. Breton, E. Guillevic, Y. Martin, P. Bonnard, G. Chambelland, R. Char, H. Matisse...)
Après une période difficile, le soutien de François Vignes, Alfred Eibel, Michel Polac, Jacques Morin, Patrice Delbourg l'encourage à poursuivre. Dès lors, il publie alternativement, poèmes, proses fictionnelles ou critiques.
Depuis 2004, J-M Robert consacre son travail à l'écriture, menant conjointement ses recherches personnelles et la transmission , en bibliothèques, écoles, centres de vacances , de l'écriture poétique sous toutes ses formes.
Les poèmes de Jean-Michel Robert ont été interprétés par Leny Escudero, Sophie Edmond , Patrick Chesnais , Josiane Stoléru et Anna Jouy (le blog d'Anna, pure poésie).
1.1. État civil
Identité : Jean-Michel ROBERT
Pseudonyme : Eugène COLLIN
1.2. Où ça ?
La Verrière
(France)
1.3. Centres d'intérêt
- poésie
- la prochaine insurrection
1.4. Ailleurs sur le web
http://jeanmichelrobert.alainsimon.net/dotclear/
transmettez si cela vous sied, l'expression de mon estime entière à votre père et aux copains ouvriers qui, à mon sens ont toujours risqué gros et ont parfois fait avancer les choses au prix de larmes de sang ; mon titre ''tu fais le trottoir soixant'huitard'' est raccoleur et provocateur et ne veut sutout pas s'attaquer au monde ouvrier pour lequel j'ai le plus profond respect ; Je visais, en fait à égratigner les peseudo révolutionnaires trotskistes et autres , les intello les étudiants nantis qui dans l'affaire avaient peu de choses engagées et peu à perdre donc ... je sais ce dont je parle pour en avoir fait partie : j'étais voué à devenir cadre commercial mais devant l'hypocrisie règnant dans ce milieu sans concesssion, je me suis détourné vers les travailleurs sociaux ; Eh bien là, surprise!! j'ai aussi cotoyé des forts en gueule des hâbleurs des intello ésotériques qui utilisaient langage et raisonnement obtus comme outils de discrimination et de suprématie ; Ceux qui portaient les cheveux très très longs et la barbe sauvage se sont souvent muté en cadres inflexibles avec costume trois pièces et attaché case en théoriciens fumeux et donneur de leçons!! ils prétendaient autrefois vouloir tout changer abolir les classes sociales et laes castes soujacentes mais ignoraient dans le même temps avec une superbe insupportable les ouvriers qui se levaient aux aurores pour aller ''au cul des vaches'' tout le jour durant ; La classe ouvrière , depuis la fin du 19e siècle , aux prix deluttes âpres a permis des acquis sociaux ...mais la jeunesse confortablement installée qui dressait des barricades en criant qu'il était interdit d'interdire s'est ensuite inserrée en silence en se voyant parfois ouvrir des voies royales !! pour une vie bien rangée avec surabondance de biens et crédits à la clef.
Alors que pouvons nous dire aujourd'hui à nos enfants qui se démènent autant qu'ils le peuvent pour avoir un salaire ? que nous avons fait la campagne de 68 ?!! et après : plus rien ou si peu !! alors respectons et aimons nos enfants qui sont bien plus dans la précarité que nous ne l'avons jamais été , ne soyons pas fiers de nous mais d'eux et laissons les élaborer les choses à leur façon en nous interdisant d'être moralistes avec une mentalité surfaite d'anciens combattants ... car rares sont ceux qui n'ont cessé de combattre pied à pied chaque jour , rares sont les militants, rares sont les garants des débats contradictoires et démocratiques et pour ma part (même si je me joins de temps à autres à eux pour faire masse) quand je croise un de ces irréductibles fidèles à leurs idéaux de jeunesse je mets chapeau bas
Place donc aux ''jeunes tiges'' qui avec leur mots , leurs façon d'être qui tenyte de se sortir d'un merdier qui s'est installé quand nous dormions sur nos deux oreilles ... bien cordialement